Mars 2020, la crise de la Covid débute et durera presque deux ans. A peine en sommes-nous sortis que la suivante s’annonce : guerre en Ukraine avec tout ce que cela entraine : insécurité, inflation, etc. L’Histoire nous montre que les crises font partie de la vie humaine depuis l’apparition du péché dans le monde. Et aux crises généralisées, s’ajoutent les crises personnelles : conflit relationnel, maladie, deuil, perte d’emploi, et j’en passe. Les chrétiens ne sont pas épargnés par les crises, ils sont parfois même encore plus exposés, si l’on pense aux régions du monde où ils sont persécutés. Cela ne doit pas nous surprendre, Jésus l’avait annoncé : « Vous aurez à souffrir dans le monde... ». Mais alors, que faire dans de telles situations ? Ces paroles de Jésus sont entourées d’une marque d’espérance : « ...mais prenez courage : moi, j’ai vaincu le monde. » et « Je vous ai dit cela afin que vous ayez la paix en moi. » (Jean 16.33).
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Mars 2020, la crise de la Covid débute et durera presque deux ans. A peine en sommes-nous sortis que la suivante s’annonce : guerre en Ukraine avec tout ce que cela entraine : insécurité, inflation, etc. L’Histoire nous montre que les crises font partie de la vie humaine depuis l’apparition du péché dans le monde. Et aux crises généralisées, s’ajoutent les crises personnelles : conflit relationnel, maladie, deuil, perte d’emploi, et j’en passe. Les chrétiens ne sont pas épargnés par les crises, ils sont parfois même encore plus exposés, si l’on pense aux régions du monde où ils sont persécutés. Cela ne doit pas nous surprendre, Jésus l’avait annoncé : « Vous aurez à souffrir dans le monde... ». Mais alors, que faire dans de telles situations ? Ces paroles de Jésus sont entourées d’une marque d’espérance : « ...mais prenez courage : moi, j’ai vaincu le monde. » et « Je vous ai dit cela afin que vous ayez la paix en moi. » (Jean 16.33).
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