Jésus a dit à ses disciples cette phrase déconcertante : « il vaut mieux pour vous que je m’en aille » (Jean 16.7). Qu’y a-t-il sur Terre qui puisse surpasser la présence de Jésus à nos côtés ? Jésus avait pourtant bel et bien raison, puisqu’après son départ, nous avons reçu un consolateur : le Saint-Esprit en nous. Sa présence et sa puissance sont tellement décisives qu’il faut attendre sa venue avant de se lancer dans la mission que Jésus confie à ses disciples (Luc 24.49).
À Pentecôte, nous fêtons la venue du Saint-Esprit : depuis qu’il nous a été envoyé, ni sa présence ni sa puissance n’ont diminué. Nous sommes dépendants de lui, en tant qu’individus et en tant qu’Église. Sans le Saint-Esprit, il n’y aurait ni connaissance, ni repentance, ni réconciliation, ni vie éternelle, ni sanctification, ni amour divin, ni évangélisation. En revanche, sa présence est accompagnée par sa puissance, son amour, ses fruits et ses dons. Voilà donc pourquoi il était mieux pour nous que Jésus s’en aille.
Lire l'article
Jésus a dit à ses disciples cette phrase déconcertante : « il vaut mieux pour vous que je m’en aille » (Jean 16.7). Qu’y a-t-il sur Terre qui puisse surpasser la présence de Jésus à nos côtés ? Jésus avait pourtant bel et bien raison, puisqu’après son départ, nous avons reçu un consolateur : le Saint-Esprit en nous. Sa présence et sa puissance sont tellement décisives qu’il faut attendre sa venue avant de se lancer dans la mission que Jésus confie à ses disciples (Luc 24.49).
À Pentecôte, nous fêtons la venue du Saint-Esprit : depuis qu’il nous a été envoyé, ni sa présence ni sa puissance n’ont diminué. Nous sommes dépendants de lui, en tant qu’individus et en tant qu’Église. Sans le Saint-Esprit, il n’y aurait ni connaissance, ni repentance, ni réconciliation, ni vie éternelle, ni sanctification, ni amour divin, ni évangélisation. En revanche, sa présence est accompagnée par sa puissance, son amour, ses fruits et ses dons. Voilà donc pourquoi il était mieux pour nous que Jésus s’en aille.
Lire l'article